Arrive dans la ville avec Ian et son écuyé

Elle sourit et vit le roi qui ouvrit les porte. Tarie-Ann se leva d'un bond et s,inclina respectueusement. Son coeur battait soudainement, elle se sentait nerveuse

- Chevalier, relevez vous.

Tarie-Ann obéit.

- QUe me vaut cette visite?

Tarie-Ann n'arrivait pas a parler...

*Ian...a l'aide... *

- Je m'en doutais.

Il les invita a entrer dans une salle. Il y avait une immense table. Le roi s'y assit tout au bout. Tarie-ann s'y assit a sa droite, elle retrouva son sens de la parole.

- Majesté, y a-t-il eu des évènements étrange ses derniers temps.

Le roi réfléchit.

- Mis a part les évènement de Rubis, non.... pas a ce que je sache.
- Je vois...

- mais...

Tarie-ann releva les yeiux vers le roi.

- oui?
- je me souviens qu'une femme est venu me dire qu'elle s'est fait attaquer par une ombre...

Tarie-Ann regarda brièvement Ian avant de regarder le roi.

- est-ce un cas isolé.
- non, six femmes m'en on fait la requête. Mais j'ai cru ces dames démente, comment des ombres pouraient-ils attaquer?

- je craint que non, elles ont disparu depuis....

Tarie-Ann fronca les sourcils.

- Nous voulions vous contacter prochainement

Le roi se leva.

- c'est tout ce que je puisse vous apporter comme information.

Tarie-Ann se leva.

- c'est déja beaucoup. Merci sire.
- tout le plaisir est pour moi Milady. Je vous pris d'accepter de rester a dormir pour la nuit.
- Je vous remercie.
- je vous invite a ma table se soir, nous souperons a 20h, vous être libre de vous promener dans le chateau

Sur se il quita

Lorsque le roi fût parti Ian se tourna vers Tarie-Ann et lui demanda :

- Alors ? Tu penses quoi de tout ça ?

Elle hocha la tête.

- j'en sais trop rien.... toi tu en pense quoi?

- humm ... les ombres ne semblent s'attaquer qu'aux femmes et aux enfants ... Si je me souviens dans la ruelle à Emeraude, c'est toi qu'elle a attaquer en premier ... non ?

Il arpenta la pièce quelques minutes réfléchissant.

- oui...

Elle commenca a jouer avec son colier, soudain elle se rappela d'un détail que Sarah lui aviat dit.

- les enfants avient tous entre 4 et 6 ans..

Ses yeux s'agrandirent.

- c'est vraiment très problable ça....

Elle fronca les sourcils.

- les ombres m'ont attaquer lorsqu'ils ont vu l'armure probablement.

- Ne t'alerte pas Ian. Pour l'instant ce n'est que suposition.

Elle regarda le jeune Kylian puis tenta de se calmer.

- nous ferons le tour des autres royaumes et nous verrons.

Elle soupira et se remit a jouer avec le colier. Tarie regarda l'écuyé.

- Kylian, va voir les chevaux et va dire au palfrenier de les garder dans une stale pour la nuit. Prépare-les pour demain. Je dois parler seule avec Ian.

Lorsque le jeune quita elle se tourna vers lui.

- vaut mieux continuer sans lui.

Elle se mordit la lèvre.

- je ne veux pas qu'il effraie ses camarades avec ça...

- Je sais Tarie, mais je préfère déjà avoir une idée des solutions que nous pourrons prendre ...

Il regarda son écuyer quitter la pièce et se tourna vers Tarie.

- Tu sais que je ne dois pas le quitter d'une semelle ... il a le droit de savoir ce qui arrive sur le continent ...

- je sais Ian.

Elle s'assit.

- Mais je me réserve le droit qu'il n'entende pas certaines partie de notre discution.

Elle le regarda dans les yeux.

- connais-tu la légende des territoires inconnus?

Cette légede racontait que certains anciens chevalier du premier ordre seraient partis se réfugier vers les territoires inconnus, la, ils réveillèrent une créature qui avait décidé d'éliminé tous les désendant de ceux qui l'avait réveiller.

Personne n'avait prété oreille a cette légende, trop occupé avec Amecareth, mais sarah-alexandre leur en avait glissé un mot pu avant leur abdoument pour devenir chevalier.

-Vaguement ... répondit Ian. Il réfléchit un moment et haussa les épaules. Sarah-Alexandre nous avait parler de cela je crois ...

Il eut un sourire désolé.

- Je pense ne pas y avoir porté autant d'attention que j'aurais dû !

Il se rappelait que des Anciens Chevaliers avait réveillé une chose terrible .. mais il ne se rappelait pas de ce qui était advenus ensuite.